---JUSQU'AU 13/5--- LES SERPENTS AU VARIA
Monsieur Ducobu a un peu grossi, des joues, ça lui donne un certain charme, non ?
FRANCE LA DIVINE JOUE AU VARIA (et c'est sûr, c'est bien) :
Les serpents
De Marie Ndiaye
Marcel Delval
Du 18 avril au 13 mai 2006 en petite salle
Madame Diss n’a pas fait la route jusqu’à la maison perdue de son fils pour le feu d’artifice du 14 juillet. Madame Diss vient voir son fils pour lui emprunter de l’argent. Un fils n’est-il pas redevable à sa mère ? Mais le fils de Madame Diss, tapi dans la maison comme un serpent, n’a ni le temps ni l’intention de la voir. Il veille sur les enfants. C’est en tout cas ce que lui dit France, la nouvelle épouse du fils de Madame Diss, la mère des enfants. Madame Diss n’a pas connu France, avant. Avant, Madame Diss a connu Nancy, dont son fils a é
té le mari, du moins pendant un certain nombre d’années. Nancy n’est pas là non plus pour le feu d’artifice. Elle vient voir aussi le fils de Madame Diss dont elle a été la femme et dont elle a eu autrefois un enfant. Nancy aimerait aussi voir les nouveaux enfants. N’est-elle pas toujours une épouse et une mère ? Tout comme Madame Diss, tout comme France. Madame Diss, France ou Nancy ; parents, enfants ; morts, vivants : quelle différence ?
Entre décomposition et recomposition, tout n’est-il pas interchangeable ? Tout n’est-il pas recommencement ?
Avec : France Bastoen, Joséphine Mboup, Awa Sene Sarr
Lumière : Alain Prévôt, assisté de Nathalie Borlée
Son : Dominique Baguette
Costumes : Souad Kajjal
Maquillage : Patricia Timmermans
Décor : Johan Daenen
Stagiaire : Photios Kourgias
Dramaturgie : Micheline Hardy
Mise en scène : Marcel Delval.
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